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accueil a propos navigation de l’utilité d’un chat (notamment en hiver) 17 janvier, 2009 posté par the moth dans : non classé , ajouter un commentaire un chat ça sert. surtout aramis. - il tient chaud à la nuque quand on le place en mode boa. bon il faut s’adosser contre les coussins plaqués eux-mêmes contre le mur sinon il se tire en moins de deux. mais il tient chaud et c’est l’essentiel ! - avec sa fourrure moelleuse et son corps tout mou, il fait un superbe coussin quand je suis allongé à plat ventre sur le lit et que je regarde l’ordinateur. il suffit de le gratouiller un peu pour qu’il reste en place. - le fait de le gratouiller déclenche chez lui un ronronnement digne d’un windows 95 avec un sérieux problème de ventilo. si on le caresse pendant qu’on s’endort, en plus de faire chauffage il sert aussi de berceuse automatique. - le matin alors qu’on fait la grasse mat’ il a toujours le chic de venir nous miauler dans l’oreille histoire qu’on rate pas les cours, officiellement bien sûr. et en même temps il t’engueule car c’est surtout pour sa bouffe qu’il nous réveille. vive les distributeurs pour chat. - un chat c’est économique ! pas besoin de dévaliser l’animalerie du coin. un morceau de ficelle lui suffit très bien ! notons aussi qu’il a la désagréable habitude de jouer avec les fils du mp3 au risque de fâcher matt. ce qu’il fait très bien mais sa bouille choupi fait en sorte que ça soit de courte durée. - il ne sort jamais les griffes ce qui est très pratique quand une enfant de 13 ans décide de jouer avec. il a aussi l’habitude de sentir le fructis. « il puait la litière et au moins son poil est doux » dixit la petite. sans commentaires. - et quand on déprime il est étrange de constater qu’il vient aussitôt se coller à vous. ou qu’il ne rechigne jamais à une petite séance de câlins. un vrai bonheur ! note: un chat c’est pratique mais le notre doit être un poil suicidaire. supporter tout ça quand même… -- accident de bus 10 janvier, 2009 posté par the moth dans : non classé , 1 commentaire parce que je suis victime d’un accident de bus au moins une fois par jour. u-u les bus sont des images mentales censées m’effrayer (elles y arrivent très bien, je ne suis toujours pas habitué) que m’envoient matt et boby dans le bus de me faire comprendre à quel point parfois je peux être lourd, mais alors très lourd. que ce soit dans l’attitude, les actes ou simplement les paroles. il suffit d’imaginer un bus qui vous fonce droit dessus à une vitesse disons de 120 km/h. depuis le temps, j’aurais certainement dû apprendre à faire attention à ce que je fais, à ce que je dis, pour éviter toutes bourdes et ainsi ne pas me prendre un bus en pleine poire. mais allez savoir pourquoi, je suis d’une telle maladresse que la leçon a dû mal à être enregistré par mon pauvre cerveau (ceci est une plaisanterie, on partage le même cerveau et tous ne sont pas aussi maladroits que moi, encore heureux). donc voilà, un article qui ne sert à rien mais j’ai envie de dessiner, ou de faire dessiner la vision apocalyptique que j’ai quand ce monstre me fonce dessus. ca pourra certainement faire rire les lecteurs mais au moins j’aurais partagé ce qui restera certainement à tout jamais mon pire cauchemar. t-t -- être aveugle:: de la vie posté par the moth dans : non classé , ajouter un commentaire la phrase n’est pas de moi mais de boby. je me permets de la reprendre pour parler de quelque chose, presque un phénomène, qui me laisse complètement ébahit, et un peu déprimé. ayant été victime de cela y’a pas si longtemps, j’ai compris la leçon. mais j’éprouve désormais certaines difficultés à comprendre les gens qui en sont victimes…volontairement. mais tout d’abord, une petite définition: aveugle de la vie: terme qui concerne les personnes n’arrivant pas à « voir »* quand quelqu’un, surnommé minorité*, leur ment, malgré les efforts d’autrui, appelé généralement majorité, qui se ramène avec une paire de lunettes et une loupe pour bien le leur prouver. *1: (=comprendre/s’apercevoir) *2: (= généralement minorité est un quelqu’un qui leur est plus ou moins proche, surtout plus même si c’est sur msn) il y a quelques mois, quand on me disait qu’une personne qui m’était sacrément proche se foutait totalement de moi, je m’écriais aussitôt que c’était faux, qu’ils ne la connaissaient pas assez pour prétendre cela alors que moi si et patati et patata. mais n’étant pas quelqu’un de très obstiné, j’ai quand même commencé à essayer de voir les choses sous un autre angle, ce qui m’a permit de découvrir que j’avais un coeur sensible avec une sacrée mauvaise vue. me rangeant alors du côté de autrui, j’ai finalement réglé mes comptes avec la-dite personne, ce qui m’a fait d’ailleurs beaucoup de bien. mais malheureusement, certains n’ont pas le même réflexe que moi. enfin, au début on peut placer le « malheureusement » en début de phrase… ensuite, quand après leur avoir parlé, apporté des preuves sur un plateau d’argent, cette personne s’obstine à ne pas nous écouter, et même à se cacher volontairement les yeux quand quelque chose se passe mais qu’elle fait mine de ne pas l’avoir vu (quand elle ne sont pas, et c’est encore pire, entrain de leur trouver des excuses), on commence à se dire que cette pauvre personne n’en est plus au stade de l’aveuglement mais bien à celui de la connerie suprême !!! sérieusement. on pourrait argumenter en disant que parfois, la majorité tend à tromper son monde en décrédibilisant la pauvre petite minorité qui commence à chouiner qu’on ne la croit jamais (oui la minorité aime à se poser en victime larmoyante, on pourrait même lui donner un oscar). alors oui, je l’avoue, dans certains cas, même nombreux, la minorité est vraiment la victime de la majorité… enfin quand on vous apporte des preuves plus que tangibles sur son comportement, que la minorité se fout elle même dans la merde de manière à ce que la gentille personne bienveillante au pardon universel mieux encore que jésus christ ne peut que remarquer qu’elle la mène en bateau, il y a un moment de grande saturation où l’on se dit qu’on va juste la laisser se dépatouiller avec ses futures emmerdes et qu’elle finira bien par ouvrir les yeux tôt ou tard. surtout tard on dirait. le syndrome du super héros que ressent la majorité est surtout une envie, peut-être stupide hein, d’aider la dite personne pour qu’elle apprenne à respirer un air moins saturé en mesmer qui lui ordonne de fermer les écoutilles à tout ceux qui pourraient faire du mal à la petite minorité tremblotante qui choisit bien son texte avant la représentation. on peut aussi simplement, au lieu d’un raz le bol collectif, se décourager en se disant que la minorité semble toujours gagner sous tout les plans alors qu’elle est en tord et que tout le monde, même la personne qui se cache les yeux en disant « nan nan » obstinément, peut s’en apercevoir. soyez sûr d’une chose. elle ne gagne jamais mais se trouve simplement des membres pour son petit collectif de peignage de cheveux mutuel jusqu’à créer de véritables mini moi. ca ne sera pas une guerre, ni même une invasion, mais juste une bande con que la majorité, non pas bien pensante mais simplement clairvoyante, regardera avec un peu de pitié avant de leur tourner le dos. la minorité restera toujours une minorité, jusqu’à ce qu’un jour elle ne soit plus qu’une minorité unique, avec juste un peigne dans les mains, une boite de mouchoir à côté d’elle. il n’y a jamais de gagnant ou de perdant à ce drôle de jeu simplement/follement/stupidement humain, malgré ce qu’on peut croire. y’a juste des andouilles qui adorent se faire découper en tranche. un fantasme refoulé certainement. -- .forum 9 janvier, 2009 posté par the moth dans : non classé , ajouter un commentaire les forums pour moi… c’est ce qui m’a aidé à exister d’une certaine manière. quand on est un alter enfermé dans un corps avec interdiction formelle de prendre le pas (= le contrôle de ce corps de manière à agir avec lui comme s’il était vraiment votre), o